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Le 666, le projet de création finale du Diable ? (Page 1)

Dans le texte « l’émergence de l’économie de la marque » (si vous ne l’avez pas encore lu, lisez-le ici), j’avais abordé le sujet de l’émergence de l’économie dans laquelle, que probablement, la marque de la Bête va faire son apparition. J’avais parlé, alors, sur le sujet de la marque de la bête à venir et son potentiel lien avec la nouvelle économie, dite numérique, qui est en train de se développer dans le monde ces dernières années.

 

J’avais aussi attiré l’attention sur la monnaie numérique, qui une fois qu’elle sera entièrement implantée, pourrait être un outil pour la réalisation de la prophétie d’Apocalypse 13 sur le fait qu’on ne pourra ni acheter, ni vendre ; si cette monnaie numérique viendrait à être liée d’une manière ou d’une autre avec cette ladite marque.

 

Maintenant dans cette étude, je vais aborder encore le sujet de la marque, mais cette fois-ci sous un autre angle. On va aussi nous poser des interrogations sur les évènements futurs liés à la marque. Nous allons regarder la marque, sous son aspect physique : quand je dis physique, c’est-à-dire qu’est-ce que ce sera cette marque ? Et sous son aspect spirituel : c’est-à-dire les implications de la marque dans l’âme humaine. Mais aussi l’implication de l’acceptation de cette marque sur la destinée de celui ou de celle qui l’aura acceptée.

 

Ainsi, c’est pour cela le titre de notre étude sera sous la forme d’une interrogation :

 

«  Le 666,  serait-ce le projet de création finale du Diable ? »

 

D’abord, lisons ce texte d’Apocalypse, chapitre 14, les versets 6 à 11 :

 

« Je vis un autre ange qui volait par le milieu du ciel, ayant un Évangile éternel, pour l'annoncer aux habitants de la terre, à toute nation, à toute tribu, à toute langue, et à tout peuple. Il disait d'une voix forte: Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l'heure de son jugement est venue; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d'eaux.

 

Et un autre, un second ange suivit, en disant: Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande, qui a abreuvé toutes les nations du vin de la fureur de son impudicité! Et un autre, un troisième ange les suivit, en disant d'une voix forte: Si quelqu'un adore la bête et son image, et reçoit une marque sur son front ou sur sa main, il boira, lui aussi, du vin de la fureur de Dieu, versé sans mélange dans la coupe de sa colère, et il sera tourmenté dans le feu et le soufre, devant les saints anges et devant l'agneau. Et la fumée de leur tourment monte aux siècles des siècles; et ils n'ont de repos ni jour ni nuit, ceux qui adorent la bête et son image, et quiconque reçoit la marque de son nom. »

 

Posons quelques interrogations ! Pourquoi accepter la marque, a pour conséquence automatique la condamnation éternelle ? D’où une fois la marque est prise, le pardon de Dieu n’est plus disponible pour le détenteur ou la détentrice de cette marque. Où est donc passée la miséricorde de Dieu ? La grâce n’offre-t-elle pas le pardon pour les péchés, si le pécheur accepte de revenir de sa mauvaise voie ? Si cette marque serait uniquement une sorte de technologie, pourquoi Dieu condamnerait-il quelqu’un juste parce qu’il a accepté de porter une pièce de technologie sur son corps, et en plus pour sauver sa vie ? Parce que ceux qui ne voudront pas porter la marque seront persécutés et même décapités. Pourquoi les détenteurs et les détentrices de la marque ne pourront pas revenir en arrière, et bénéficier de la grâce de Dieu ?

 

Il y a deux réponses possibles à ces interrogations :

 

1. La première réponse, nous savons que sous la grâce, période que nous vivons actuellement, que tous les péchés sont pardonnables à l’exception du péché contre le Saint-Esprit. C’est ce que nous dit Jésus dans Matthieu, chapitre 12, verset 32 : « Quiconque parlera contre le Fils de l'homme, il lui sera pardonné; mais quiconque parlera contre le Saint Esprit, il ne lui sera pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.  » Donc, pour qu’accepter la marque cela ouvre la voie à la condamnation éternelle, est-ce qu’on peut penser que cette marque sera une sorte de blasphème au Saint-Esprit de Dieu ?

 

Un péché qui n’a de pardon ni dans ce siècle, ni dans le siècle à venir ; donc un péché qui conduit tout droit à la condamnation éternelle. Cela pourrait être un premier élément de réponse à nos interrogations.

 

2. La deuxième réponse, on peut la tirer dans le texte que nous venons de lire en Apocalypse, chapitre 14. On a 3 anges qui volent dans le ciel, selon le texte. Le premier annonce un évangile éternel, évangile qui demande aux nations d’adorer que Dieu seul, créateur du ciel et de la terre. Le second ange annonce un jugement ; jugement qui a été porté sur Babylone la grande. Et le troisième ange annonce un avertissement. Cet avertissement consiste en quoi ?

 

Il consiste à ne pas accepter la marque de la Bête, et de ne pas l’adorer ni son image sous peine de boire de la coupe de la colère de Dieu, dans l’étang de feu et de soufre. Autrement dit, accepter la marque et adorer la bête conduit à la condamnation éternelle. Ce qui veut dire que le salut réside dans le refus de cette marque et dans le refus d’adorer la bête.

 

Or nous savons que sous la grâce, la condition du salut telle qu’énoncée dans Actes des apôtres, chapitre 16, verset 31 est : « Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille !  » Donc si le salut réside dans le fait de ne pas accepter la marque et de ne pas adorer la bête en ces temps-là, cela voudrait dire que nous ne sommes plus dans les temps de la grâce.

 

Pour tous ceux qui ont étudié les dispensations de la Bible, nous savons qu’à chaque période de dispensation il y a aussi une condition de salut particulière. De ce fait, au temps de la fin, quand la marque sera là, la condition de salut de cette période sera de ne pas porter la marque, et de ne pas adorer la Bête et son image. Et ce que moi je comprends dans cette vérité, c’est que, quel que soit la forme sous laquelle cette marque viendra, son implication sera plus spirituelle que physique.

 

Qu’est-ce que j’entends par là ? Que cette marque soit un tatouage, une puce, un code-barres, un implant électronique ou quoi que ce soit d’autre ; cette marque aura un lien direct avec le monde des ténèbres ; et l’accepter, sera accepté de rejoindre le camp des ténèbres. Si Dieu n’a pas pardonné aux anges qui avaient rejoint le camp de Lucifer, et ont été chassés du ciel avec lui ; de la même façon toutes celles et tous ceux sur la terre qui accepteront cette alliance avec le royaume des ténèbres à travers cette marque, seront définitivement rejetés par Dieu.

 

D’ailleurs dans le texte d’Apocalypse 14, nous voyons l’implication de ce jugement : « Si quelqu'un adore la bête et son image, et reçoit une marque sur son front ou sur sa main, il boira, lui aussi, du vin de la fureur de Dieu. », « Il boira, lui aussi » Cela sous-entend qu’il y a déjà quelqu’un qui est en train de boire le vin de la coupe de la colère de Dieu. Mais que tous ceux et toutes celles qui accepteront de rejoindre cette alliance subiront eux aussi ce jugement.

 

Donc vue sous cet angle, la marque de la bête ne sera pas simplement une technologie, un implant ou un tatouage à porter sur le corps (ce que pourrait penser plus d’un). Quelque chose inventée par l’homme pour améliorer son quotidien, ou pour faire jolie. Elle sera une inspiration satanique, pour proposer à l’humain de choisir son dieu : Soit de choisir Satan à travers l’anti-Christ comme dieu, ou soit de choisir de rester dans le camp du Dieu vivant qui a créé le ciel, la terre et la mer.

 

Et c’est exactement ce choix qu’on voit que le 1e ange est en train de mettre en évidence dans l’évangile éternel qu’il est en train de proclamer à toute nation, tout peuple, tout tribu et toute langue. Apocalypse 14. S’il y a un évangile éternel qui proclame aux nations, que l’adoration doit revenir au seul vrai Dieu, le Dieu créateur ; c’est parce qu’en face il y a un imposteur, un super vilain, déguisé en super héros et qui se fait passer pour Dieu. Apocalypse 13.

 

Maintenant nous allons considérer l’aspect spirituel de la marque.

 

Beaucoup de gens ont des frissons quand ils entendent parler de la marque de la Bête ! Ils ont peur de porter la marque sur leur corps à leur insu, afin de ne pas être damnés. Mais et si la marque sur le corps n’était que l’aboutissement d’un long projet ? Et si la marque sur le corps, n’était que la matérialisation d’une marque qui existe déjà depuis des millénaires ? En d’autres termes, la marque à venir peut n’être que la manifestation physique d’une marque qui est déjà imposée dans l’âme humaine, depuis des temps immémoriaux.

 

Retournons dans la Genèse, un petit instant. Dieu dit « faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance et qu’il domine… », On s’arrête là. Nous sommes en Genèse, chapitre 1er, le verset 26. Donc Dieu a créé l’homme pour qu’il lui ressemble et pour qu’il domine sur la terre. Mais nous savons qu’à la chute, Genèse chapitre 3, l’homme a perdu sa position dominante sur la création.

 

Cette autorité que l’homme aurait dû avoir, il l’a légué à celui à qui il a obéit ; c’est-à-dire, le serpent. C’est le principe établi par l’apôtre Paul en Romains, chapitre 6, le verset 16 : « Ne savez-vous pas qu'en vous livrant à quelqu'un comme esclaves pour lui obéir, vous êtes esclaves de celui à qui vous obéissez… » Donc en obéissant au serpent au lieu qu’à Dieu, l’homme s’est rendu esclave du serpent et le serpent est passé automatiquement en position d’autorité, et récupère cette autorité que l’homme avait reçue de Dieu sur la création.

 

D’ailleurs, ce serpent ancien qui n’est autre que le Diable, n’a pas manqué de le rappeler à Jésus en Luc, chapitre 4, les versets 5 à 7 :

 

« Le diable, l'ayant élevé, lui montra en un instant tous les royaumes de la terre, et lui dit: Je te donnerai toute cette puissance, et la gloire de ces royaumes; car elle m'a été donnée, et je la donne à qui je veux. Si donc tu te prosternes devant moi, elle sera toute à toi. » Les royaumes de la terre ont été donnés au diable, mais donner par qui ?

 

Le Psaumes 115, le verset 16 nous dit : « les cieux sont les cieux de l'Éternel, Mais il a donné la terre aux fils de l'homme. » Si la terre est le monde des hommes, et Dieu a créé l’homme pour qu’il domine, il doit dominer où ça ? Il doit dominer dans son monde, sur la terre, et non dans les cieux là où Dieu règne. Donc l’autorité du Diable sur le monde des hommes ne vient pas de Dieu. Elle vient du fait de l’obéissance des hommes au diable, ce qui les rend esclaves de ce dernier, selon le principe de Romains 6, le verset 16.

 

Mais à la chute, l’homme n’a pas seulement perdu son autorité. Il a aussi fait une acquisition. En effet, Dieu n’a pas créé l’homme non seulement pour qu’il domine, mais aussi selon son image et sa ressemblance. L’image et la ressemblance de Dieu en l’homme c’est quoi ?

 

On pourrait dire que c’est la capacité de l’être humain à aimer Dieu et son prochain ; puisque Dieu lui-même est amour ; sa capacité à éprouver de la compassion, puisque Dieu est miséricordieux ; ou à éprouver des regrets, à pardonner, à montrer de la bonté… Ces mêmes qualités ne nous viennent-elles pas de notre Père céleste ; en d’autres termes, ce sont des émotions humaines. On dit souvent que c’est ce qui fait de nous des êtres humains ; nos émotions : la joie, la tristesse, la haine, l’amour, le partage, la rancune, la colère… etc.

 

Mais quand Dieu a créé l’homme, n’avait-il pas pris de la poussière de la terre pour former un corps ? Après cela, n’avait-il pas soufflé dans ce corps de poussière son souffle ? Et c’est alors que la Bible nous dit que l’homme est devenu « une âme vivante », après avoir reçu le souffle de vie. 1 Corinthiens 15, verset 45.

 

Donc qu’est-ce que l’homme finalement ? L’homme est une âme vivante, qui a été créée dans un corps de poussière tiré de la terre, et qui a reçu un souffle de vie. C’est ce qui fait que l’homme est tripartite : Corps, Âme et Esprit !

 

Mais ce caractère tripartite de l’homme n’est-il pas aussi une image de Dieu en nous ? En effet, nous servons un Dieu unique, mais un Dieu qui se décline en trois personnes. Le Père, qui représente l’âme humaine et de qui viennent toutes choses. Le Fils, l’image du Dieu invisible. Dieu est esprit, un esprit n’a ni chair ni os ; et n’est pas visible à l’œil nu. Mais le fils s’est incarné dans un corps visible, puisqu’il a pris forme humaine. Et l’Esprit, qui sonde les profondeurs de Dieu.

 

Donc l’homme étant tripartite, et ce caractère tripartite est en quelque sorte l’image du Dieu créateur, en nous. Si le Diable a un projet pour corrompre la création de Dieu, et pour la récupérer à son compte, ne visera-t-il pas l’homme dans ses trois parties ? C’est pourquoi, en portant un regard nouveau sur la marque de la bête, je ne peux m’empêcher de voir dans cette future marque, un projet pour réécrire la création du Dieu saint.

 

En effet, jusqu’ici le diable poussait les hommes à pécher contre Dieu. Mais les hommes restaient des créatures de Dieu et avaient la possibilité de rédemption. Mais et si le plan final, ce n’était plus de pousser les hommes à pécher, mais de faire en sorte que les hommes deviennent la création du Diable et non celle de Dieu. Autrement dit, de remodeler la race humaine complètement à l’image du Diable. Et ce sous ces trois aspects : corps, âme et esprit. Du coup on comprendrait pourquoi cette maudite marque, apporterait la condamnation éternelle automatique, dès son acceptation.

 

Parce que de même, que le diable et ses anges n’ont plus accès au pardon, après leur rébellion contre le Dieu vivant ; s’ils venaient à modeler l’homme complètement à leur image, celui-ci perdrait aussi la possibilité de rédemption.

 

Je sais que c’est une idée un peu tirée par les cheveux. Mais posez-vous la question. Pourquoi le monde d’aujourd’hui parle d’un concept nouveau qui est le « nouvel humanisme ». Un concept qui sous-entend la création d’un nouveau monde, avec comme valeurs : le rejet de la violence, la liberté d’idée et de croyance, la reconnaissance de la diversité culturelle et personnelle et l’être humain placé comme valeur de préoccupation centrale. Telles sont les courants d’idées prôné par le nouvel humanisme.

 

Des idées nobles, me diriez-vous. Il n’y aurait rien de mal à propager ces idées-là. Mais pourtant le monde qui veut créer ce nouvel humanisme, c’est un monde qui vit déjà sans Dieu. Un monde qui ne veut pas se soumettre à la loi du Dieu créateur.

 

En conséquence, c’est sous ce label du nouvel humanisme, que l’homosexualité est enseignée dans les écoles à vos enfants. Parce qu’en rejetant la violence et en prônant la liberté personnelle et culturelle, c’est dans cette optique que le nouvel humanisme veut créer un monde où tout un chacun a le droit de choisir son orientation sexuelle, et son identité sans subir de rejet ou de violence de la part des autres.

 

Et pour ce faire, quoi de mieux que d’enseigner ces valeurs, à la racine ; donc à la petite enfance. La période où l’humain est encore une masse d’argile sans forme ; c’est-à-dire un vase en devenir. Construire un nouvel humain pour qui ces valeurs deviendront normales. De même que l’homme a la loi de Dieu inscrite dans sa conscience, est-ce qu’on ne voit pas là une tentative d’un nouvel ordre mondial d’essayer d’inscrire chez l’humain d’autres lois, autres que les lois divines ? Histoire d’éloigner l’homme encore plus de son véritable créateur.

 

Cela nous rappelle les paroles de l’apôtre Paul, en Romains, chapitre 1er, le verset 32 : « Et, bien qu'ils connaissent le jugement de Dieu, déclarant dignes de mort ceux qui commettent de telles choses, non seulement ils les font, mais ils approuvent ceux qui les font. » Et de quoi l’apôtre Paul parlait exactement dans ce passage. Il parlait de l’homme qui a rejeté Dieu, et est tombé dans l’homosexualité parce que Dieu l’a livré au penchant de son cœur.

 

Et aujourd’hui le nouvel humanisme veut plus que jamais, créer un monde où l’homme ne se préoccupe plus de ce qui est écrit dans la loi divine ; c’est pour cela que l’homosexualité et l’identité de genre est présenté sous le label de la liberté individuelle.

 

Mais nous avons dit tantôt qu’à la chute, non seulement que l’homme avait perdu son autorité, mais qu’il avait acquis quelque chose. Il a acquis quoi ? Il a acquis une nouvelle nature, une nature qui ne lui vient pas de Dieu, mais de son nouveau maître, le Diable. C’est ce que l’être humain a hérité de la chute, une nature pécheresse. Or le péché, n’est pas de Dieu, il est du Diable. 1 Jean, chapitre 3, verset 8 : « Celui qui pèche est du diable, car le diable pèche dès le commencement. »

 

Et Jésus n’a pas manqué de le rappeler aux pharisiens en Jean, chapitre 8, le verset 44, quand il leur dit : « vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds; car il est menteur et le père du mensonge. ».

 

Donc cette nouvelle nature dans l’homme, va créer en lui des émotions négatives, qui vont pousser l’homme non seulement à pécher contre Dieu, mais aussi à vivre dans le péché. Mais si l’âme par définition, est généralement considérée comme le siège des émotions et des désirs ; un homme qui veut faire de bonnes œuvres selon la parole de Dieu comme : exercer l’amour, le pardon, la miséricorde…etc., n’est-ce pas l’image de Dieu en lui qui s’exprime ? Puisque ces choses sont des attributs de Dieu.

 

Tout comme, un homme qui s’exerce à faire le mal, à des querelles, à proférer des mensonges et à se livrer à des choses infâmes, toujours d’après la parole de Dieu, n’est-ce pas aussi l’image du Diable qui s’exprime en lui ? Donc cette marque à venir et qui fait couler tant d’encre, et que beaucoup ont peur comme leur ombre, en quelque sorte n’est-elle pas déjà inscrite dans l’âme humaine ?

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